martes, 10 de abril de 2007

Homenajes (V)

C'est le malaise du moment,
l'épidémie qui s'étend,
la fête est finie, on descend,
les pensées qui glacent la raison.
Paupières baissées, visages gris,
surgissent les fantômes de notre lit;
on ouvre le loquet de la grille
du taudis qu'on appelle maison.
Protège-moi,
protège-moi protège-moi,
protège-moi protège-moi,
protège-moi protège-moi,
protège-moi
Sommes-nous les jouets du destin
souviens-toi des moments divins
planant, éclatés au matin,
et maintenant nous sommes tout seuls.
Perdus les rêves de s'aimer,
le temps où on avait rien fait,
il nous reste toute une vie pour pleurer
et maintenant nous sommes tout seuls.

1 comentario:

Anónimo dijo...

C'est un très grand plaisir de te lire en français. C'est à toi le poême ou pas? Cela montre vraiment la solitude...

bisous